SocioHebdo - 24 mars 2017 - Édition - Idées préconçues

Une idée préconçue s’est se faire une idée sur un sujet, avant de le connaître.

 

Le problème pour une entreprise, une organisation ou un secteur d’activité qui est aux prises avec des idées préconçues est double. S’il subit des idées préconçues à son égard, celles-ci risque de coller à sa réputation. S’il entretient des idées préconçues à l’égard d’autrui, il pourrait passer à côté d’opportunités de développement.

 

Le travail du sociologue est d’évaluer les idées préconçues afin de distinguer ce qui juste de ce qui est erroné.

 

Cette semaine, SocioHebdo présente trois exemples d’idées préconçues, un de consommation, un en santé publique, l'autre politique.

 

IDÉE NO 1 : SILICONE VALLEY RIME AVEC VILLE LA PLUS CONNECTÉE

Aux États-Unis, le boom technologique pourrait laisser à penser que les personnes les plus connectées habitent la côte ouest américaine. Pourtant, selon une entreprise de connexion Internet citée par le magazine Fortune, les ménages les plus connectés se trouvent à l’est, dans la ville d’Atlanta.

 

IDÉE NO 2 : L’OBÉSITÉ EST UNE AFFAIRE DE CLASSE SOCIALE

L’équation « problème de poids, mauvaise alimentation ; faible scolarité, faible revenu » est courante. Pourtant, aux États-Unis, il appert que le portrait est plus nuancé et surtout, moins stéréotypé.

 

IDÉE NO 3 : LES ÉLECTEURS DU FRONT NATIONALE, UNE AFFAIRE DE CLASSE SOCIALE

Les électeurs du Front national (France) sont souvent dépeints comme adhérant aux idées du parti d'extrême-droite, issus de la classe populaire, porteurs d'un élan politique, voire d'un renouveau. Ici aussi, leur portrait semble beaucoup plus nuancé.

 

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